L’une des conséquences directes et immédiates de la violence des gangs armés a été le déplacement de la population, un phénomène qui met en lumière l’urgence de repenser l’organisation du pays et de renforcer les capacités institutionnelles.
À ce propos, la sociologue a indiqué qu’il existe une illusion selon laquelle les déplacés auraient massivement investi les villes de province. Elle précise :
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