Ici, la créativité populaire transforme la misère en rituel de survie. Un griot doré à l’huile recyclée, des bananes plantains qui claquent sous la friture, un bouillon cube en excès : tout cela raconte un peuple débrouillard, mais aussi un peuple à bout de souffle. Car derrière le geste simple de se nourrir, la tragédie pointe : cette nourriture, censée être vecteur de vie, devient un poison lent pour la santé collective. Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article. Pas encore de compte ? Inscrivez-vous