Aleken, chen janbe, anba dra… autant de noms colorés qui font partie du vocabulaire quotidien en Haïti pour désigner ces plats préparés à même les trottoirs, vendus aux abords des rues poussiéreuses ou sur des tables de fortune. Ces nourritures, souvent considérées comme un refuge pour les ventres affamés et pressés, sont devenues une institution populaire. Chauffeurs de taxis, ouvriers du bâtiment, employés de bureau ou étudian
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