Aujourd’hui, je ne vais pas convoquer la Muse ni Apollon, dieu de la poésie, pour qu’ils me prêtent des mots vêtus de deuil. Non, mille fois non. Mon souffle créateur préfère s’élancer sur les sentiers de la vie, de la joie et de la poésie, afin de tresser des guirlandes d’amour autour de la longue existence de ma très chère marraine, Carmélie Eloy, partie vers l’Orient éternel le samedi 15 août 2025.
Infatig
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