La poésie chez Gounod Louis Jean est avant tout combat. Dénote une largesse d’imagination qui laisse pantois le lecteur qui la croise pour la première fois. Il ne passe pas loin de la fougue casterienne (pour traduire ce qui se rapporte à la poésie de George Castera). Par intermittence, on a l'impression qu'il fuit quelque chose. Ou se met hors de portée. Sans pouvoir, certainement, étouffer les émotions qui finissent tours par prendre le dessus.
Son recueil intitulé « Tout Boulin », mis à part des erreurs relevant de l’insouciance de la maiso
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