Depuis la chute du prince-à-vie,
les rues se sont faites tambours.
Elles frappaient au rythme du déchoukaj,
arrachant les racines gangrenées,
jetant à bas les idoles de carton.
C’était l’heure des cris,
des rêves levés comme des torches dans la nuit,
des pas qui déchiraient l’ombre
pour inventer l’aube.
Mais les pouvoirs passèrent,
ombres fragiles, avides,
brisé
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