Ils ont étudié, franchi chaque étape universitaire dans un pays où chaque année de cours est un combat. Et pourtant, à l’arrivée, c’est le mépris qui les attend. Sans “contact” ni “parrain”, de jeunes professionnels haïtiens se voient proposer à peine 100 gourdes de l’heure pour enseigner. Pour beaucoup, faute d’opportunités dans leur domaine, le professorat devient un choix contraint, synonyme de salaires déri
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