Jephte Estiverne, à l’aube du naufrage

S’il poursuit sur cette voie, avec cette exigence du mot juste, cette sensibilité à fleur de peau, alors Jephte Estiverne a devant lui un grand chemin.

Marc Sony Ricot
Par Marc Sony Ricot
15 mai 2025 | Lecture : 2 min.

J’ai lu le recueil Naufrage (RAM édition, 2024) de Jephte Estiverne au petit matin. J’aime lire la poésie avant l’arrivée du soleil, avec la fraîcheur de l'aube qui m’enveloppe de son silence et de sa promesse. J’apprécie la poésie qui choque, qui brise, qui nous émerveille mais aussi qui arrache quelque chose de nous. Je lis Alexandre Pazanik depuis des années. Chaque lecture, chaque vers, chaque métaphore est toujours une nouvel

Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.

Pas encore de compte ? Inscrivez-vous