Fin de ratures

J’accusais un retard de près d’une heure à la séance.

Jephte Estiverne
Par Jephte Estiverne
09 mai 2025 | Lecture : 5 min.

J’accusais un retard de près d’une heure à la séance. La toute première de l’atelier naissant. Avant ce jour marquant l’aube de nos rencontres, je ne te connaissais que par ta renommée. Partout encensé étais-tu, autant que le forçait ton nom sculpté par toi-même au panthéon des lettres. Je ne t’avais pas encore lu. J’avais maintes fois fait don de silence quand on vantait tes mérites. Comment était-ce possible

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