« En ces jours d’incertitude,
Je marche sur les tessons
D’une peine immense
Et d’une funeste frayeur.
J’ignore encore
Où vont s’arrêter mes pas
Sur la route infinie
De mes lugubres pensées. »
(Robert Lodimus, Couronne d’’épines et de ronces)
Les yeux embastillés dans la noirceur, le paysage gourd, encore
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