Ricardo Seitenfus [1]
Le matin du lundi 20 décembre 2010, j’ai reçu un appel sur mon portable du bureau du secrétaire général de l’Organisation des États américains (OEA) à Washington. José Miguel Insulza me demandait de quitter Haïti. Selon lui, dans un interview accordé à un journal suisse publié le jour même, j’avais tenu des propos « incompatibles avec mes fonctions de représentant spécial de l’OEA en Haïti ».
Depuis lors, mes propos ont été largement relayés en Haïti et à l’étranger. De fa
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