La sonnerie du téléphérique résonne comme dans un rêve. Wake-up call. Il est 6 heures 30. Je suis en décalage horaire de douze heures. Une bouffée d’air frais depuis le 8e étage du Grand hôtel. Un clin d’œil à l’écoulement de la rivière qui ne chemine pas trop loin. Une douche rapide et un passage éclair au restaurant avant de rejoindre la délégation qui a déjà grimpé dans le bus.
Nous sommes le jeudi 10 octobre, jour de fête nationale de Taïwan. Tout est au pas de charge. Parce qu’il faut arriver au palais présidentiel tôt,
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