La vieille maison qui abrite le centre culturel Araka, située à la rue de l’enterrement, à proximité du stade Sylvio Cator, ne s’est pas revêtue de ses habits de fête. Cette bibliothèque, symbole de la liberté de la parole, qui a contribué à la formation de nombreux jeunes, vit des jours difficiles. La crise socioéconomique et politique que traverse le pays impacte l’offre de service du centre et diminue le nombre de ses membres considérablement. L’avenir de ce trentenaire s’assombrit.
« Cette année, nous n’avons