Moins de quarante-cinq jours après la prise de fonction du gouvernement Céant, des parlementaires commencent à fredonner leur refrain préféré : le remaniement ministériel. Le premier ministre se dit disposé à faire des sacrifices pour le bien commun. Le mécanisme du changement est enclenché.
Qu’est-ce qu’on reproche aux ministres qu’on aimerait renvoyer ? Leur incapacité à appliquer le programme du gouvernement ? Leur incompétence ? Sont-ils des intrus ?
On ne sait pas ; peut-être qu’on ne saura jamais la vraie raison.
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