Le konpa, notre musique de bal, s’est révélé à travers ses textes qui chantaient la beauté, la nature et les femmes. Les rares incursions sexuelles étaient susurrées comme un secret de famille. La dictature réprimait les moindres écarts, pas d’allusion au sexe encore moins à l’injustice sociale ...
Au début des années 80, le konpa qui jusqu’alors jouait le tempo de l’autocensure se réveilla aux réalités de l’injustice. Ti Manno chante l’exploitation. Tuco Bouzi avec « Malere » questionne les richesses mal acquises. Tabou Combo condam
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