Après « Ti Oma » en 2001, « Grann Gede » en 2007, « San bri san kont » en 2012, c’est avec « Nèg Mawon pa tonbe » que Charlot Lucien vient charmer son public. À la lumière de Maurice Sixto, Jean-Claude Martineau ou Félix Morisseau Leroy, Charlot reste encore l’une des rares personnes à pérenniser cette forme de littérature orale qui tend à disparaître.
L’homme aux contes a pourtant plusieurs cordes à son arc ; peinture, caricature, poésie sont, entres autre, les palettes qui constituent l’aquarelle de sa vie culturelle très active. Bi
Si vous avez déjà créé un compte, connectez-vous pour lire la suite de cet article.
Pas encore de compte ? Inscrivez-vous