Entre le bruit des pas dans l’allée, les talons qui s’empressent de monter les escaliers ou qui courent prendre l'ascenseur, les retardataires se procurant le ticket à la dernière minute, les dames accourant aux toilettes pour une petite retouche de maquillage, le temps de tendre son billet à l’entrée, les membres de l’orchestre Sainte-Trinité prenaient déjà place sur l’estrade. Et c’était parti pour deux heures de musique classique.
Sous la direction de Dickens, les musiciens débutent la représentation par « Pa ban m chay pote », comp