De la sorte, l’œuvre de Jean-Claude Charles ne le suivra pas dans la tombe. Elle trouve, bien au contraire, un regain de vitalité et de visibilité depuis que les éditions Mémoire d’encrier ont entrepris la réédition complète des productions de celui qui s’était toujours présenté comme un « nègre errant », un nomade aux semelles de vent. Après «Négociations», «Manhattan Blues», «Bamboola Bamboche», la maison d’édition remet donc «De si jolies petites plages» entre les mains des lecteurs. Paru pour la première fois en 1982, cet essai ethnographiq
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