«Dix ans déjà. J'ai tenté de traduire sur du siam les images insoutenables d'une ville prise dans la tourmente d'une nature révoltée et exténuée par l'outrance qu'elle subit. Les cris de détresse et de souffrance des martyrs de ce drame remplissent encore mon quotidien de clichés d'horreur, et me rapellent la fragilté d'une vie faite d'imprévus et de paradoxes», dit Robert Paret, cet architecte de profession qui s’ouvre à la peinture pour exprimer ses émotions à travers l’art, à l’occasion du 10e anniversaire de ce violent séisme qui