Fondation TOYA

Marche contre le silence autour des violences faites aux filles et aux femmes

« Les victimes de violence de genre ont un sexe : celui attribué à tout être humain né avec un vagin, le sexe féminin.

Claude Bernard Sérant
Par Claude Bernard Sérant
03 déc. 2019 | Lecture : 3 min.

« Les victimes de violence de genre ont un sexe : celui attribué à tout être humain né avec un vagin, le sexe féminin.  Peu importe la catégorie socioprofessionnelle considérée. Dès que le sexe se définit féminin, il est à risque d’être victime de violence sexuelle, de viol, d’agression, d’abus, de harcèlement sexuel », a déclaré la fondatrice de la Fondation Toya, Nadine Louis Similien, le samedi 30 novembre, au cours d’une marche symbolique organisée par les filles et les jeunes femmes leaders Toya. 

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