Pour expliquer la nature de son nouvel album Jean Jean Roosvelt ne fait pas dans la dentelle : « Se tankou se fristrasyon depi plizyè lane ke mwen vomi. » L’homme qui n’a plus rien à prouver estime qu’au fort de sa trentaine, il est important pour lui de crier sa rage devant l’indicible qui caractérise toute l’histoire de notre pays. « J’ai toujours eu des chansons comme "Taisez-vous" dans lesquelles je m’adresse aux concernés directement. Je me rends compte que ces derniers raffolent de ces chansons et font semblant d’ignorer le message. Da