Prise en charge des maladies cardio-vasculaires : « quelque chose doit changer »

Le dernier rapport de l’Évaluation des prestations des services de soins de santé (EPSSS) ne fait que révéler des contrastes ralatives à la prise en charge des maladies cardio-vasculaires. Le Dr Nancy Charles Larco, porte-étendard d’une cause tant négligée par l’État, réagissant aux données de l’EPSSS, explique que « la situation ne peut plus continuer ainsi, que quelque chose doit changer ».

Edrid St Juste
Par Edrid St Juste
06 août 2019 | Lecture : 3 min.

Figure emblématique de la lutte contre les maladies cardio-vasculaires, aux côtés de son père René Charles, le Dr Nancy Charles Larco, réagissant aux résultats du rapport de l’EPSSS, clame haut et fort que « la situation ne peut plus continuer ainsi, que quelque chose doit changer ». Haïti est le seul pays à n’avoir pris aucune mesure pour faire avancer la lutte contre les maladies chroniques. « On en parle mais rien de concret n’est fait», a martelé la directrice de la Fondation haïtienne de diabète et de maladies cardiovasculaires (

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.