Port-au-Prince, ville presque morte et conciliabules pour définir l’alternative au départ du président Jovenel Moïse

Mardi, quarante-huit heures après les manifestations de dizaines de milliers de personnes à travers le pays pour exiger la démission du président Jovenel Moïse, le grand commerce, la majorité des écoles n’ont pas fonctionné à Port-au-Prince et dans d’autres villes de province.

Roberson Alphonse
Par Roberson Alphonse
11 juin 2019 | Lecture : 2 min.

Mardi, quarante-huit heures après les manifestations de dizaines de milliers de personnes à travers le pays pour exiger la démission du président Jovenel Moïse, le grand commerce, la majorité des écoles n’ont pas fonctionné à Port-au-Prince et dans d’autres villes de province. En plusieurs points du territoire, au Champ de Mars, dans les parages du palais national, à St-Marc, dans l’Artibonite, des manifestations improvisées ont été dispersées par la police.

Sur la route nationale numéro no 1, à hauteur d’Arcahaie et de Cara

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