Ses propos en faveur d’un départ organisé/préparé du chef de l’État se prêtaient au contexte de turbulences incessantes que traversait le pays laissant entrevoir une absence d’autorité. Le sénateur de l’Ouest, se réclamant de l’opposition « modérée/constructive », qui, précise-t-il, n’exige pas le départ du président à tout bout de champ, explique que sa position découlait du contexte lié, d’une part, à un niveau d’irresponsabilité et, d’autre part à la violence. Aujourd'hui, le sénateur n'entend pas donner carte blanche au président de la