Il y a un point commun entre toutes celles et tous ceux qui se sont procuré un exemplaire d’un des agendas qu’Ange-Bellie Andou nous gratifie depuis 2017 : ils ne les jettent pas même après le 31 décembre de l’année de l’édition en question. Que ça soit nos collègues féminins du Nouvelliste, de Ticket Magazine ou d’autres connaissances qui en ont fait l’acquisition, tous ou presque les gardent précieusement au-delà du temps d’usage, avec la même religiosité qu’on préserve au fond d’un bouquin la photo de l’élu de son cœur.
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