Roland Léonard
Il n’y avait pas grand monde, pas de foule à répondre à cette invitation du « jazzy’s », de ce vendredi-là. Dommage ! Ils ne savent pas ce qu’ils ont raté en qualité de nourriture, à la fois artistique et spirituelle, au-delà du simple plaisir sonore et sensuel.
Quelques fans fidèles et irréductibles, constitués de musiciens amis, de journalistes et autres « allumés » ou « branquignols », inconditionnels du grand genre afro-américain, pratiqué universellement, étaient cependant présents pour soutenir de leur admira