L’Association professionnelle des juges (APM) n’a pas digéré les propos de Jovenel Moïse, indiquant avoir procédé sous pression à la nomination d’une liste de juges sur laquelle figurent au moins 50 corrompus. Selon ce qu’il a expliqué devant des compatriotes à Paris, il a pris cette décision après le déclenchement d’un mouvement de grève dans le système judiciaire. Sur Magik9 ce jeudi, le président de l’APM, Wando Saint-Villier, a contre-attaqué et rappelé les circonstances qui ont poussé ses confrères à la grève.
Selon lui, cette as