Je ne fréquente pas les réseaux sociaux. Cette liberté qu’y trouve n’importe qui de dire n’importe quoi a des expressions parfois déroutantes. Désobéissant à ma règle, j’ai pu constater sans étonnement la violence de certains commentaires concernant la maladie de Moïse Jean-Charles. Souhait de paralysie permanente. Rien que ça. Mais encore mieux : qu’il crève et qu’on en finisse. Le pire dans tout ça, c’est que l’on peut soupçonner les auteurs de ces textes d’avoir la même origine, le même physique que le leader détesté. Ils ont accumulé que