Dans la Capitale haïtienne – Port-au-Prince et ses environs – où des hôpitaux, des écoles, des universités, des bibliothèques sont incendiées devant le silence de dirigeants hors sol, le regard cynique, condescendant et creux de la communauté internationale vernis d’un verbiage diplomatique rance, le peuple haïtien continue de mettre ses morts sous terre dans la plus grande indifférence.