Lavi ka bèl n’est pas une succession d’histoires captivantes et intrigantes offertes par Mme Jean qui n’est pourtant pas à son premier livre. Les phrases longues alourdissent le texte tandis que l’incohérence retenue au niveau de certaines phrases vous conduit droit à l’ennui. Néanmoins, il faut quand même encourager le travail de Maguy, à un moment où la langue créole est de plus en plus banalisée, méprisée, au profit de la langue française. En effet, dans un tel contexte, proposer un livre en créole haïtien demeure avant tout un acte de co