L’Université d’État d’Haïti tire la sonnette d'alarme concernant les conditions écologiques du pays

Face à la dégradation accélérée de l'environnement qui expose Haïti à des risques de plus en plus élevés à des aléas naturels, l’Université d’État d’Haïti (UEH) trouve opportun de livrer vendredi sa réflexion sur ce phénomène. Organisée à la Faculté de médecine et de pharmacie (FMP), cette journée d’études autour du thème : Université, écologie et citoyenneté, a mis l'accent sur la vulnérabilité écologique du pays. Une telle démarche s’articule entre le partage des informations et la promotion de l’écocitoyenneté en Haïti.

Emmanuel Moïse Yves
yemmanuelmoise@gmail.com
Par Emmanuel Moïse Yves yemmanuelmoise@gmail.com
14 mai 2018 | Lecture : 2 min.

Ce conférence-débat ne réduit pas, à juste titre, l’écologie à l’environnement. La réflexion entendait saisir l’être humain avec sa nature dans son entourage. Suivant les interventions, le risque de l’écologie est généralement lié à deux facteurs : les aléas naturels, la vulnérabilité. Le premier est exogène et indépendant de toutes actions humaines, c'est-à-dire les cas de cyclones, tempêtes, tremblement de terre, etc. Le second, quant à lui, se voit en rapport avec les actions humaines causant ainsi la vulnérabilité.

Neudy Jean-Bapti

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.