Pendant que les rencontres se multiplient entre groupes représentatifs de tous les secteurs de la vie nationale, malgré les divergences d’intérêts, dans l’objectif déclaré de s’entendre sur la forme que devra prendre l’autorité nationale de transition et le mandat de cette autorité, c’est triste sans être surprenant d’écouter un citoyen haïtien déclarer à la radio que nous ne savons pas nous entendre, dialoguer, et que dès lors c’est juste et souhaitable que des étrangers nous forcent à le faire.
Mais qui est donc ce «