Il est 6 heures passées de 30 minutes. Les sièges de la salle Unesco de la Fokal sont déjà tous occupés. Ce soir, pour voir jouer ces dames, il faut soit squatter le sol ou décider de rentrer chez soi, bredouille. « Tizè » de mon état, la dernière option n’est guère envisageable. Quelle idée saugrenue ! Alors, je croise les doigts pour que le sol soit beaucoup plus clément envers le bas de mon dos, pendant près de 90 minutes. D’ailleurs, une bande de musiciennes talentueuses s’incrustant dans l’arène du compas prise d’assaut par les hommes n