La question policière vingt-cinq ans après

Jamais, depuis la démobilisation des Forces Armées d’Haïti (FADH) par le décret du 6 janvier 1995 et la création de la Police nationale d’Haïti (PNH) le 12 juin 1995, le pays n’a eu à composer avec autant de problèmes de sécurité/insécurité et de criminalité/impunité aussi déroutants.

Pierre-Raymond DUMAS
Par Pierre-Raymond DUMAS
26 juin 2020 | Lecture : 3 min.

Jamais, depuis la démobilisation des Forces Armées d’Haïti (FADH) par le décret du 6 janvier 1995 et la création de la Police nationale d’Haïti (PNH) le 12 juin 1995, le pays n’a eu à composer avec autant de problèmes de sécurité/insécurité et de criminalité/impunité aussi déroutants. Forte de 15172 policiers aujourd’hui, la PNH, qui est dans de sales draps, doit faire l’objet de critiques et de discussions constructives : d’une part, en raison de son mode de recrutement et d’administration, puisque le vetting constant ou régulier est

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