Ce n’est point du radotage que de faire allusion au “ Radeau de la Méduse “ du peintre Théodore Géricault, pour traduire le drame haïtien de ces dernières années. C'est du sauve-qui-peut dans un pays, où les inégalités sociales sont si criantes, qu’un récent reportage fait par un journaliste européen - teinté d’exagérations, certes, comme à l´ordinaire - qui compare Haïti à “ l’enfer sur terre “. Blessé dans mon orgueil de Grand-Anselais, appartenant à un coin paradisiaque de pays, dont je fais constamment la promotion, je m´en prends