«Le séisme a été une expérience extraordinaire pour nous à Sainte-Trinité. Moi, j’ai grandi ici, je commence à faire de la musique à l’âge de 8 ans. La salle Sainte-Cécile a été un lieu mythique pour moi. C’était un symbole. Quand on rentrait dans cette salle, c’était avec les bras croisés, la main sur la bouche. À sa destruction, il y a dix ans, une partie de moi s’était aussi effondrée. Mais la musique continue. La musique ne mourra jamais », a déclaré, l’air nostalgique, le responsable des relations publiques de l’École