Huawei, héros national en Chine depuis que le géant des télécoms est dans le viseur de Washington, se retrouvait mercredi contre toute attente sous le feu des critiques dans son propre pays pour des références jugées suspectes à Hong Kong et Taïwan.
Le numéro deux mondial des smartphones est le dernier en date des grandes entreprises mondiales à faire les frais de la vindicte pro-communiste en Chine, mais les attaques visaient jusqu'à présent des groupes étrangers, notamment cette semaine le Sud-Coréen Samsung, numéro un du sect