Gédéon, c’est à vous

Le silence méprisant du citoyen Jovenel Moïse, le ridicule des quelques personnes payées pour le défendre, en opposition à des dizaines de milliers de citoyens dans les rues de nos villes, il n’y a plus rien à dire sur ce que veut le pays, à part qu’un tout petit sens de la dignité aurait déjà porté celui que l’on n’appelle plus « président » que par défaut à laisser le pouvoir pour organiser sa défense.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
12 juin 2019 | Lecture : 3 min.

Le silence méprisant du citoyen Jovenel Moïse, le ridicule des quelques personnes payées pour le défendre, en opposition à des dizaines de milliers de citoyens dans les rues de nos villes, il n’y a plus rien à dire sur ce que veut le pays, à part qu’un tout petit sens de la dignité aurait déjà porté celui que l’on n’appelle plus « président » que par défaut à laisser le pouvoir pour organiser sa défense.

Le comportement contradictoire des forces de police en cette journée de dimanche témoigne du problème immédiat auquel le pays fait fa

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.