Les activités sont paralysées à Port-au-Prince et dans des villes de province au lendemain de la grande mobilisation lancée pour réclamer la démission du président de la République Jovenel Moïse. Les écoles ne fonctionnent pas, les portes des commerces sont fermées et le transport en commun paralysé. Seules des motocyclettes et quelques voitures privées sont remarquées sur quelques artères de la capitale.