Je ne sors plus. C’est connu maintenant. J’ai quitté la stratosphère des party people depuis bientôt deux ans. Un peu par choix. Forcé peut-être, mais choix quand même. Et à dire vrai, croyez-le ou non, cette vie-là ne me manque pas trop. La gueule de bois des lendemains après une nuit bien arrosée et les journées un peu trop longues qui en découlent me semblent lointain. Mais pour des occasions un peu spéciales et/ou quand je sens la déprime vouloir me happer, je me glisse dans la routine de mes amies plus fougueuses que moi, le temps d’une