À Bamako, lors de la rentrée littéraire du Mali, à la fin du mois de février dernier, Edwy Plénel prenait la parole à la table ronde autour du thème « Des ponts ou des murs ». Ce qu’il y a dit doit aussi être entendu par des Haïtiens, par tous les aspirants aux voyages et aux retours ; par tous ceux qui, à force de rebuffades, finissent par croire qu’ils sont assignés à résidence. Edwy Plénel nous dit que l’humanité n’est pas condamnée à la sédentarité, que le monde appartient à tous et à chacun.
Edwy Plénel se réjouit de venir