Le syndicat de l'OAVCT remet le couvert. Il reprend la grève. Les assurés sont prévenus. Qu'ils attendent s'ils avaient une réclamation en cours de traitement; qu'ils s'arrangent pour ne pas avoir d'accidents; qu'ils se débrouillent aussi avec les policiers prompts à filer des contraventions pour polices d'assurance périmées exigées par l'État, par la loi- impossible à renouveler à cause de la grève. Avec un zeste de bon sens, on comprend une évidence. Pour le syndicat et l'État, l'assuré qui paie n'a aucun droit, ne jouit d'aucun égard.