Le doute, toujours

L’exclusion du groupe Sweet Micky de certains défilés carnavalesques est-elle une victoire-vengeance politique a posteriori ou un plaidoyer sincère pour une « moralisation » du discours public dans l’espace carnavalesque ? Loin de moi l’idée de défendre l’individu, il n’a rien d’une cause.

Antoine Lyonel Trouillot
Par Antoine Lyonel Trouillot
01 févr. 2018 | Lecture : 2 min.

L’exclusion du groupe Sweet Micky de certains défilés carnavalesques est-elle une victoire-vengeance politique a posteriori ou un plaidoyer sincère pour une « moralisation » du discours public dans l’espace carnavalesque ? Loin de moi l’idée de défendre l’individu, il n’a rien d’une cause. Mais il faudrait s’entendre sur ce qu’on veut faire taire. L’attaque personnalisée contre des individus n’appartenant pas au pouvoir politique, la dénonciation calomnieuse et caractérisée de leur bon renom est une chose répréhensible sur le plan légal et c

CET ARTICLE EST RÉSERVÉ AUX INSCRITS

Inscrivez-vous gratuitement

Il vous reste 85% à découvrir. Inscrivez vous pour lire la suite de cet article.