« M se yon tizè kamera », lance-t-il sans broncher. Passionné de vidéographie, dès son jeune âge, Schneider Benjamin, toujours muni de sa caméra, filme inlassablement ses amis du quartier. « Mes amis adoraient chanter et, moi, je les filmais constamment. J’étais toujours présent quand ils voulaient faire de la musique. M te tizè, ce qui m’a beaucoup aidé », raconte ce produit du Petit Séminaire Collège Saint Martial qui se voit bien aussi dans la peau d’un rappeur.
Mais, en grandissant, sa famille désapprouve son choix de faire carrièr