Dans son compte-rendu, l’IML a présenté ses deux grandes préoccupations : la non-affectation d’allocations budgétaires à son fonctionnement et le manque de collaboration entre cette entité et les magistrats (debout ou assis). « Dans le budget 2013-2014, le Parlement avait formellement mis à la disposition de l’IML, pour la première fois, une allocation de 30 000 000 de gourdes », peut-on lire dans le rapport. Cette somme n’a été dépensée qu’à hauteur de 40% pour cause d'un « blocage d’ordre politique ». « Depuis, aucune allocation n’est spéc