Mauvaise nouvelle pour les travailleurs intellectuels : depuis la fin du printemps, les «news magazines» ne sont pas reçus à Port-au-Prince. En effet, sur les rayons des libraires et dans les stands des supermarchés, on ne trouve plus de revue venant de France ou des États-Unis d’Amérique. Personnellement, je suis très embêté, je ne dispose plus depuis lors de documentation pour meubler mes réflexions. Parce que le scribe doit prendre appui sur un auteur, un essayiste, un homme de plus, un journaliste... Il n’est jamais le porte-parole de se