Le Conseil supérieur des salaires a-t-il péché dans la gestion du temps ?

La manifestation des ouvriers de la sous-traitance, vendredi, réclamant 800 gourdes comme salaire minimum a créé un vent de panique dans sur la capitale au moment où des industriels et le gouvernement misent pour attirer des investissements massifs dans le secteur de la sous-traitance pendant les cinq prochaines années.

Lemoine Bonneau
Par Lemoine Bonneau
22 mai 2017 | Lecture : 2 min.
La manifestation des ouvriers de la sous-traitance, vendredi, réclamant 800 gourdes comme salaire minimum a créé un vent de panique dans sur la capitale au moment où des industriels et le gouvernement misent pour attirer des investissements massifs dans le secteur de la sous-traitance pendant les cinq prochaines années. Ce mouvement des ouvriers arrive au moment où le Conseil supérieur des salaires (CSS) n’avait jusqu’au 1er mai rien proposé pour cette année. Ce retard enregistré au sein de cet organisme est à la base de cette situation confuse
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