« Aujourd’hui la formation médicale en Haïti a beaucoup de problèmes. Les facultés se multiplient de manière exponentielle sans tenir compte de la qualité de la formation et des normes fixées par le MSPP. Cela nous donne une formation qui n’est pas standard », a fustigé d’entrée de jeu le directeur général du MSPP, le Dr Lauré Adrien.
Dans une veine analogue, il a décrit les difficultés qui existent dans l’application des textes de loi dans un contexte où la réalité du terrain devance la législation médicale. «Selon les lois en vigueur