Durant la Journée internationale de la langue maternelle célébrée le mercredi 21 février, l’Akademi kreyòl ayisyen (AKA) en a profité pour poser la problématique de l’éducation dans une langue qui n’est pas la nôtre. Expliquant l’importance d’utiliser la langue vernaculaire comme moyen d’instruction, l’académicien Clotaire Saint-Natus a surtout indiqué que « la recherche scientifique dans les années 1950 a montré qu’on apprend mieux dans les langues qu’on parle le plus couramment ». Il a indiqué que des écoliers sont censurés pour n’être pa