Dans la dernière loi de finances, les prévisions de recettes de la DGI s’élevaient à un peu plus de dix milliards de gourdes. Si l’on en croit le directeur général de l’institution, Miradin Morlan, les recettes sont supérieures à ces prévisions. 11,6 milliards de gourdes, dit-il, sont déjà collectées. C’est, explique-t-il, le signe d’une institution qui est sur les bons rails. Avant même l’adoption d’un budget rectificatif, les autorités du pays fredonnent de nouvelles chansons. Les prévisions de 36 milliards ne sont plus d’actualité. Miradi